Pendant le Covid, la sous-location de bureaux était une solution pour les entreprises. Est-ce toujours le cas aujourd’hui ?
Mehdi Dziri : Lors de la crise sanitaire de nombreuses entreprises ont été contraintes de sous louer leurs bureaux, ces derniers s’étant vidés d’un coup. Depuis, l’usage des bureaux a évolué et le télétravail s’est développé. Plus qu’une solution, la sous-location est aujourd’hui un usage qui s’est créé, une carte que l’on peut jouer au gré de l’activité et des besoins, pour rendre plus flexible l’immobilier.
La sous-location est un vrai levier. Nous le voyons clairement sur notre plateforme : les deux dernières années, nous avons eu une croissance de l’offre de sous-location de 50 % par an. Cet intérêt pour la sous-location reflète aussi le contexte macroéconomique, avec le besoin des entreprises de gagner en flexibilité, de faire des économies, d’identifier des sources de revenus additionnels ou des sources d’économies potentielles.