Alors que la crise sanitaire amplifie le besoin de flexibilité des entreprises, les baux traditionnels ne sont pas adaptés pour répondre à cette demande. Qu’avez-vous observé ?
Maryse Aulagnon : Nous devons accompagner le besoin de flexibilité des entreprises et le déploiement des nouveaux usages. Dans les bureaux, le bail traditionnel peut constituer un frein dans certaines situations, notamment quand une entreprise se lance et hésite à s’engager sur une période minimum de 3 ans. Ce n’est pas dans l’intérêt du bailleur non plus d’être lié sur une période longue à une entreprise qui ne pourrait pas atteindre ses objectifs.