Hausses du prix de l’électricité. Hausses du prix du gaz. Hausses généralisées sur tous les postes liés à l’énergie. L’enjeu de la facture énergétique sur le marché de l’immobilier tertiaire s’annonce de première importance et, dans ce contexte, le développement des bureaux opérés peut s’avérer d’une grande aide.
Un constat, d’abord : selon le ministère de la Transition écologique, le secteur du bâti, qu’il soit résidentiel ou tertiaire, est le plus gros consommateur d’énergie du pays (44% de l’énergie finale). Et, à l’intérieur de cet ensemble, les bâtiments du secteur tertiaire (bureaux d’entreprises et surfaces commerciales) sont responsables d’un tiers des consommations énergétiques finales du pays, cette fois selon le journal Les Echos.
En clair : les objectifs fixés par le gouvernement de neutralité carbone en 2050 et d’une diminution de l’ordre de 55% des émissions de gaz à effet de serre en 2030, par rapport à leur niveau de 1990, ne pourront être atteints que si le secteur de l’immobilier tertiaire se montre proactif. Et c’est là que les bureaux opérés peuvent intervenir.